mercredi 1 avril 2009

LES TRIBULATIONS DE PILOUIS LOUBET... VOUS CONNAISSEZ LE PAPA, VOICI LE FILS !


ANGERVILLE Trophée de France 28/29 Mars
2 courses en 1 week-end

Samedi : Pilouis fait le 2ème temps des Essais Chronométrés.

Pré-Finale : dès le 1er virage, Pilouis se fait sortir à l'extérieur et repart 17ème pour revenir à la 5ème place.

Finale : départ en 5ème position sur la corde. Il pleut mais en Cadet la règlementation n'autorise pas les pneus pluie (incroyable mais vrai !). Premier virage sans adhérence, les karts s'empilent les deuxièmes sur les premiers, les troisièmes sur les deuxièmes, etc... donc carton. Pilouis s'en sort plutot bien. Deuxième virage, de nouveau des karts dans tous les sens. Pilouis est dans un paquet englué. Troisième virage, tête à queue du kart qui le précède. Pilouis est à l'arrêt lorsque la meute arrive et le percute. Il part en tête à queue et se trainera jusqu'à l'arrivée pour finir 15ème. Le bilan est catastrophique, toute l'équipe attend le dimanche pour se refaire.

Dimanche : Pilouis fait le 8ème temps des Essais Chronométrés.

Pré-Finale : il part sur l'extérieur, remonte place par place et se bat avec un groupe entre la 2ème et la 4ème position. Au fil des tours, il assure la 3ème place mais termine finalement 4ème. Dans le dernier tour, Pilouis, voulant passer le 2ème par l'extérieur, fait une erreur et ouvre trop la porte. Leclerc en profite. Pilouis empoche le record du tour et reste plein d'espoir pour la finale.

Finale : avec une stratégie décalée au niveau des pneus, Pilouis part très optimiste. Il est le seul a avoir des pneus neufs, tous ses concurrents les ont usés le matin. Toute l'équipe est confiante. La course démarre, Pilouis se faufile mais rapidement, le rythme baisse. Personne ne comprend, il n'avance plus ! Après l'arrivée, le diagnostic tombe. La contre-performance s'explique par un arbre arrière dévissé. Le train n'était plus tenu et pire encore, le disque frottait sur l'étrier de frein, bloquant le kart. Pilouis en pleure, très déçu. Probablement sa plus grande désillusion depuis le début de sa jeune carrière. Il voulait vraiment cette victoire ; grand moment de solitude. Toute l'équipe est dégoutée. Il faut maintenant penser à la prochaine course, SALON, dans 15 jours.

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