samedi 13 décembre 2008

ARGENTINE - SUR LA ROUTE DU RETOUR AU CHILI
























Mardi 9 décembre. Cette fois, nous partons ! Mais pas vraiment de bonne heure car notre petit déjeuner, nous le passons en compagnie du Professeur Tournesol et de Françoise que nous avons bien du mal à quitter…
Sur la route, nous passons de la haute montagne colorée à une végétation luxuriante et quasiment tropicale. Un joli rapace nous offre son envol… Les températures aussi ont changées et, à la tombée du jour, il fait au moins 36°C et très humide… Je me dis que dans un mois, nous allons souffrir ici… Nous laissons Tucuman pour continuer jusqu’à Concepcion où nous arrivons de nuit. Il pleut mais la petite ville est très animée. Je parierais que l’après-midi personne ne sort… Nous demandons le meilleur hôtel de la ville, bien nous en a pris… c’est glauque mais au moins, nous ne dormirons pas dans Jeannine.

Mardi 9 décembre. Cette fois, nous partons ! Mais pas vraiment de bonne heure car notre petit déjeuner, nous le passons en compagnie du Professeur Tournesol et de Françoise que nous avons bien du mal à quitter…
Sur la route, nous passons de la haute montagne colorée à une végétation luxuriante et quasiment tropicale. Un joli rapace nous offre son envol… Les températures aussi ont changées et, à la tombée du jour, il fait au moins 36°C et très humide… Je me dis que dans un mois, nous allons souffrir ici… Nous laissons Tucuman pour continuer jusqu’à Concepcion où nous arrivons de nuit. Il pleut mais la petite ville est très animée. Je parierais que l’après-midi personne ne sort… Nous demandons le meilleur hôtel de la ville, bien nous en a pris… c’est glauque mais au moins, nous ne dormirons pas dans Jeannine.

Mercredi 10 décembre. Levées tôt, nous quittons rapidement Concepcion. Il a plu toute la nuit et de violents orages qui ont éclatés, ce matin, le temps n’a pas changé… Des trombes d’eau s’abattent sur nous et, alors que nous n’avons parcouru qu’une soixantaine de kilomètres, les autos sont arrêtées, la route est inondée et un torrent d’eau boueuse dévale de la campagne… Impressionnant. Un Pick-Up arrive en sens inverse et demande une sangle pour tirer un véhicule en panne au milieu de la tourmente. Le conducteur m’assure qu’avec Jeannine haute sur pattes, je passe. Je m’élance donc prudemment tandis que Véro immortalise notre traversée…Impressionnant. Je ne peux m’empêcher de penser aux images de cataclismes que nous voyons que trop souvent à la télé… Mais Jeannine passe sans encombre et nous pouvons continuer notre route jusqu’à La Rioja où nous refaisons le plein d’essence avant de faire le plein de vin ! Pardi, le Malbec ‘Trapiche’ rappellera de bons souvenirs à Casteu et le blanc de Quara est excellent ! Cela servira pour Noël chez Chaleco ou avant… Le soleil revient quand nous abordons les paysages plus désertiques autour de la Rioja et nous accompagne jusqu’à La Union, où nous trouvons une jolie cabane pour 40 euros (c’est un peu cher mais l’environnement est beau !).

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