mardi 27 novembre 2012

X Rally Marrakech 5-6-7-8 Mars 2013


Communiqué de Presse



Dix jours après la fin du Merzouga Rally 2012, la deuxième édition du Marrakech XRally est déjà mise sur pied. Premier rendez-vous au printemps, Edo Mossi innove sur son épreuve, elle se déroulera de Marrakech à Agadir, du 5 au 8 Mars. Plusieurs demandes ont été formulées auprès de l'organisateur pour que l'épreuve devienne itinérante.....


X Rally Marrakech

......“nous avons donc décidé de faire un tracé du XRally dynamique, de Marrakech à Agadir en passant par Taroudant, Tafraoute et Tiznit.
C'est une formule idéale pour mettre un frein à l'hiver européen et aussi pour profiter des chemins les plus authentiques du Maroc. Les épreuves spéciales permettront aux pilotes de découvrir les arganiers, l'Atlas avec ses paysages merveilleux à 3.000 mètres d'altitude pour finir par une étape sur le sable d'Agadir, en bordure de la côte Atlantique. Pour sa deuxième édition, le XRally est un vrai marathon africain qui veut devenir un rendez-vous incontournable dans la pure tradition des rallye-raids et lancera la saison de course.”


X Rally Marrakech

Tarif promotionnel comprenant les droits d'inscription, le carburant et hébergement en hôtel. La navigation s'effectuera sans GPS avec un système de contrôle et de suivi. Les motos doivent disposer d'une autonomie de 90 km.
Les tarifs valables jusqu'au 31 Décembre 2012 :

1.190€ frais d'inscription pour la moto ou le quad et le pilote
255€ pour les frais d'inscription du mécano ou d'un conjoint
150€ plaque d'assistance pour les véhicules de plus de 3,5t.
INFORMATIONS
www.merzougarally.com

jeudi 22 novembre 2012

DAKAR 2013 PRÉSENTATION

Paris, le 21 novembre 2012

À retenir dans ce communiqué :

·         Un parcours dessiné sur une trajectoire nord-sud, entre Lima au Pérou et Santiago au Chili, en passant par l’Argentine et notamment San Miguel de Tucuman, où sera respectée une journée de repos.
·         La course moto voit le retour d’une équipe officielle Honda, rivale avec Helder Rodrigues des KTM de Cyril Despres et de Marc Coma.
·         Stéphane Peterhansel remet son titre en jeu au volant d’une Mini, et retrouvera les trois vainqueurs précédents comme rivaux : Nasser Al Attiyah et Carlos Sainz à nouveau réunis dans une même équipe, tandis que Giniel De Villiers mène le clan Toyota.
·         Deux records déjà battus : 53 nationalités représentés, 39 quads au départ.
·         Etaient présents à la présentation officielle : 
-         M. Enrique Meyer, Ministre du Tourisme- Argentine
-         M. Gabriel Ruiz Tagle, Secrétaire d’Etat aux Sports du Chili
-         Mme Gabriela Gutierrez, Présidente de la commission Dakar Peru 2013, Ministère de Tourisme du Pérou
-         M. Daniel Bilalian, Directeur Général Adjoint en charge des sports de France Télévisions
-         M. Jean-Etienne  Amaury, Président d’Amaury Sport Organisation
-         M. Etienne Lavigne, Directeur du Dakar
-         M. David Castera, Directeur sportif du Dakar






DAKAR 2013 : NOUVELLE DONNE


Cap au sud pour le Dakar 2013, dont le parcours prévoit un ordonnancement des difficultés revisité, de Lima à Santiago, entre le 5 et le 20 janvier prochains. La publication de la liste des engagés annonce également une nouvelle donne dans la bataille pour les titres : l’arrivée de Honda comme constructeur officiel à moto pour rivaliser avec KTM, le retour de Carlos Sainz comme coéquipier de Nasser Al Attiyah dans l’espoir de concurrencer le trio de pointe de Mini mené par Stéphane Peterhansel…Tout est ouvert !

Changement d’axe et changement de repères. En partant pour la première fois de Lima le 5 janvier prochain en bord de Pacifique, le Dakar empruntera pour sa 35ème édition une trajectoire nord-sud qui l’a longtemps guidé sur d’autres rivages, mais qui reste inédite depuis l’arrivée de l’épreuve  en Amérique du Sud en 2009. Cette nouvelle orientation s’accompagne d’une innovation sportive rendue possible par la géographie du Pérou : les pilotes et équipages rencontreront des dunes dès les premiers jours de course. La première séquence de désert se poursuivra au Chili, puis après le franchissement de la Cordillère des Andes, la résistance des concurrents sera testée sur des étapes argentines aussi exigeantes que somptueuses. San Miguel de Tucuman marquera le repos après huit jours de course et donnera le départ  de la plus longue étape du rallye, juste avant un triptyque sablonneux avec au programme les dunes de Fiambala et de Copiapo. De quoi effectuer une ultime sélection et provoquer des rebondissements, avant de célébrer les héros à Santiago le 20 janvier.

Les trophées à lever sur le podium d’arrivée installé devant le Palais de la Moneda concernent une minorité parmi les pilotes des 459 véhicules attendus au départ, représentant un nombre record de 53 nations différentes. Mais la liste des prétendants s’est certainement élargie dans toutes les catégories depuis le mois de janvier dernier. A moto, la suprématie au long cours du duo constitué par Cyril Despres et Marc Coma chez KTM pourrait être remise en question par la formation d’une écurie officielle Honda, qui a enrôlé Helder Rodrigues, 3ème lors des deux dernières éditions. Les ambitions sont également très élevées du côté de chez Husqvarna, avec les Espagnols Joan Barreda et Jordi Viladoms, associés à Paulo Gonçalves. Et Yamaha, qui a attiré Frans Verhoeven en plus d’Olivier Pain et de David Casteu, se réjouit aussi du retour de son capitaine historique, David Frétigné.

C’est toutefois en auto que les cotes sont les plus délicates à établir. Si le team X-Raid, qui est parvenu au succès avec la Mini de Stéphane Peterhansel l’an dernier, aligne toujours une équipe de choc avec Nani Roma et Krzysztof Holowczyc, les changements réglementaires intervenus pourraient changer la donne. Nul ne sait si un écart de performance subsiste par exemple avec les prometteuses Toyota de Giniel De Villiers et de Lucio Alvarez, respectivement 3ème et 5ème en 2012. Le mystère est encore plus opaque sur le potentiel du buggy conçu aux Etats-Unis par et pour Nasser Al Attiyah, qui table sur un double effet de surprise en invitant Carlos Sainz, son frère ennemi de l’époque Volkswagen, à le rejoindre dans son équipe. Du côté des revenants, Guerlain Chicherit prend place dans un buggy SMG et compte lui aussi se mêler à la bataille. Les places d’honneur seront également disputées par quelques déçus de haut vol de l’année dernière, comme Guilherme Spinelli (Mitsubishi), Christian Lavieille (Dessoude) ou Matthias Kahle (Proto Mercedes).

En camion, les Iveco du Team De Rooy ont infligé aux Kamaz leur premier revers depuis 2007, et comptent bien capitaliser sur leur succès, avec le tenant du titre Gerard De Rooy, son cousin Hans Stacey ou encore l’Italien Miki Biasion. Ales Loprais pourrait jouer les arbitres s’il met fin à une longue série d’abandon au volant de son Tatra, capable par intermittence de devancer Eduard Nikolaev et ses équipiers russes. Dans la course quad, la famille Patronelli n’a plus qu’une carte à jouer, celle de Marcos, pour lutter contre les 38 autres pilotes engagés. Le deuxième record déjà battu par le Dakar 2013 !


Dakar 2013 : guerlain chicherit dans les starting-blocks

De retour du Maroc, suite à une n-ième séance d’entraînement, Guerlain CHICHERIT revient sur sa préparation et ses ambitions pour le DAKAR 2013, extraits.

Guerlain, à moins de deux mois du départ, quel est ton état d’esprit ?
Positif bien sûr ! Et surtout très motivé ! Nous avons bien travaillé avec SMG, nous avons accumulé les kilomètres en tests, vérifié et validé certaines options techniques. Aujourd’hui je suis confiant : l’auto est
performante, toute l’équipe va dans le même sens, nous avons tous fait un travail très professionnel. C’est très encourageant pour la suite.

Parle-nous un peu de ta voiture…
C’est un prototype SMG 2 roues motrices motorisé par un moteur V8 essence, une auto performante et qui se comporte bien sur tous les terrains. Ce prototype, c’est le fruit de plusieurs années de
développement. Cette voiture est fantastique à conduire, je prends un plaisir extraordinaire à son volant, et puis, ce qui ne gâche rien, elle a un look d’enfer, elle plaira au public et aux téléspectateurs !



Ton objectif c’est la gagne ?
Je sais qu’on a du potentiel, on ne va pas se mentir, j’espère faire un beau résultat. Mais on se doit de rester modeste et humble, le plateau est très relevé et il est difficile pour nous de se situer en termes de performance. Les 4 roues motrices seront toujours avantagées par rapport aux 2 roues motrices et les moteurs diesel restent très compétitifs. Pour le moment, nous manquons de repères, nous avons vraiment bien travaillé pendant les tests mais rien ne remplace la compétition. On ne brulera pas les
étapes, ce projet, c’est du long terme. Je vais faire de mon mieux, rouler à mon rythme, et on verra après chaque spéciale. Je ne suis pas un favori, plutôt un outsider…

lundi 19 novembre 2012

DAKAR 2013 : Ils ont quelque chose en plus…


Issy-les-Moulineaux, le 19 novembre 2012



Les équipages de Race 2 Recovery sont constitués de soldats anglais et américains ayant subi de très graves blessures en mission. Malgré leur handicap, aucun d’entre eux ne se sentira diminué en se présentant au départ de Lima le 5 janvier prochain. Objectif numéro 1 : montrer qu’il y a une vie au-delà du handicap.

Le Dakar se trouve souvent au carrefour de défis multiples, et déclenche pour beaucoup l’envie de se surpasser. Race 2 Recovery rassemble précisément une poignée d’aventuriers pas comme les autres, qui se retrouvent dans une volonté commune de créer l’exploit, après avoir tutoyé la mort. Dans chacun des quatre Bowler engagés par l’équipe, sera installé un soldat invalide, blessé lors des conflits d’Irak ou d’Afghanistan ces dernières années. L’ancien parachutiste Tom Neathway, victime d’un piège qui lui a valu l’amputation de deux jambes et d’un bras, partira par exemple à l’assaut du rallye le plus exigeant du monde. Mais la perspective des dunes n’angoisse nullement ce soldat de l’armée britannique, qui officiera comme copilote : « c’est mon plus gros challenge depuis ma blessure. Ce sera dur, mais notre côté militaire devrait nous aider, nous sommes habitués aux conditions difficiles, à la chaleur. Je suis tout à fait capable de descendre de la voiture pour creuser dans le sable. Ma seule crainte, c’est l’adaptation de la prothèse à l’environnement, il faut absolument éviter les infections ».

Fondateur du projet, le vétéran Tony Harris a quant à lui laissé une jambe en Afghanistan en 2009. Il compte sur la détermination hors-normes qui anime les hommes qu’il a réunis : « Au départ de cette aventure, je cherchais un sport dans lequel on ne nous mettrait pas dans une classe ‘invalides’, et je voulais aussi pouvoir impliquer toute une équipe, à la fois sur la préparation et sur la course. Nous avons par exemple conçu des équipements qui aident à compenser nos handicaps. Mais je sais que nous ne serons absolument pas gênés par des problèmes de sommeil ou de chaleur. De toute façon nous voulons juste rejoindre l’arrivée, pas battre Peterhansel ». Dans cette bande essentiellement britannique, un démineur américain du Marine Corps a été enrôlé. Mark Zambon a déjà mis à l’épreuve sa motivation en partant à la conquête du Kilimandjaro à la force des bras, après avoir perdu ses deux jambes en janvier 2011 : « Je n’ai jamais voulu que mes blessures puissent définir ma vie. Et j’ai vraiment réalisé de quoi j’étais capable en voyant qu’avec mes béquilles, je dépassais les grimpeurs valides lors de l’ascension. Le Dakar est un challenge phénoménal, qui nous fera grandir en tant qu’individus, et qui va créer des liens entre nous. Car il nous faudra une implication totale pour y arriver ». 


mardi 13 novembre 2012

Jordi Viladoms participera au Dakar 2013 au sein du Team Tamarugal XC et au guidon d'une Husqvarna Speedbrain !



Après bien des déboires, Jordi Viladoms a assuré sa participation au Dakar grâce à deux accords : le premier avec Speedbrain qui lui confie une Husqvarna et le second avec l'équipe chilienne Tamarugal XC qui lui fournira tout le support technique nécessaire.
Speedbrain est le team en charge des Husqvarna sur le Dakar et a offert au Catalan la possibilité de participer à l'édition 2013 au guidon d'une Husqvarna TE449RR, une des meilleures motos du plateau. « Je suis vraiment très heureux de courir sur une Husqvarna Speedbrain, commente le vice-champion du Monde FIM des Rallyes Tout Terrain. C'est une moto qui a vraiment beaucoup évolué cette année et je suis certain que ses performances seront couronnées de succès. »
L'accord avec Speedbrain conclu, continue Jordi Viladoms, je devais me trouver une équipe capable de me fournir l'assistance pour ce Dakar. Très rapidement, le team Tamarugal XC m'a offert l'hospitalité et tout l'appui technique et logistique dont j'avais besoin. »
Tamarugal XC est un team chilien, l'un des plus importants d'Amérique du Sud et l'un de ses objectifs est le Dakar. « Les vestes jaunes » — surnom qui leur a été attribué à cause de la couleur de l'équipe — sont les experts du terrain sur lequel se déroule la course la plus dure au Monde et accueillent en leur sein les frères Prohens, Daniel Gouet, Claudio Rodríguez, Jorge Villagra et... Chaleco López !

« Dès le premier jour, explique Jordi Viladoms, les dirigeants de l'équipe Tamarugal XC ont été enthousiasmés par la possibilité de notre collaboration et, comptes tenus du calendrier, ont remué des montagnes pour que je fasse partie de leur structure.
Javier Campillay, directeur de Tamarugal, exprime sa joie d'avoir Jordi Viladoms dans son équipe. « Avoir avec nous le Vice-Champion du Monde est le meilleur moyen de démontrer le sérieux avec lequel nous travaillons et c'est aussi un moment historique pour le sport chilien. Grâce à l'intégration de Chaleco et Jordi, nous avons formé une équipe solide qui n'a rien à envier aux meilleurs teams du Mondial. Les avoir à nos côtés sera un véritable plus pour les autres pilotes et j'espère que cela se reflètera durant le Dakar.





vendredi 9 novembre 2012

DAKAR 2013 : Alain Michoulier : « Pas un gramme de business dans ce projet »





Des prénoms d’enfants, un arbre de vie… mais pas une seule marque présente sur le 4x4 d’Alain Michoulier, pilote et porteur de l’opération « Mon Dakar du cœur ». En donnant le maximum pour atteindre Santiago, il compte communiquer sa volonté à de jeunes malades du cancer, pour les aider dans leur combat pour la vie.

Alain Michoulier évolue à contre-courant, et pratique le contre-pied. Son Dakar n’est pas seulement un défi, mais bien un message. A tous les étages de son projet, on peut lire un mode de pensée qui remet en question les pratiques habituelles : « sachant que je n’ai pas un budget qui me permet d’aller voir un préparateur pour y choisir une voiture, je me suis dit que j’allais remplacer l’argent par mon énergie personnelle. Du coup, j’ai commencé à m’intéresser à la mécanique à 58 ans, et maintenant j’ai réussi à restaurer totalement un Toyota KDJ 95 datant de plus de dix ans, comme je l’avais fait avec une R20 que les frères Marreau pilotaient sur le Dakar 1982 ».

La complexité technique suffirait à elle-seule à rendre le challenge ambitieux. Mais pour le Lyonnais, qui se présente pour la première fois sur le Dakar, l’essentiel est ailleurs, puisque dans son périple vers Santiago, il associe les enfants hospitalisés en chambres stériles à l’Institut d’Hématologie et d’Oncologie Pédiatrique de Lyon. « Je fais un parallèle entre le défi sportif que je me lance, et celui que tous ces enfants doivent relever lorsqu’ils sont confrontés à des difficultés, à des souffrances de tous ordres. Leur ligne d’arrivée à eux, c’est la guérison. Je sais que de mon côté, avec la voiture que j’ai, je vais en baver et arriver le soir à pas d’heure ! Mais je n’ai pas le droit d’abandonner », explique Alain, qui dévoile ici toute l’âme de sa démarche. La cohérence et la probité du projet se retrouvent jusque dans son financement, monté selon un principe éthique aussi strict que déroutant : « je n’ai pas voulu de sponsors, mais uniquement des mécènes. Je ne veux pas qu’il y ait un gramme de business dans ce projet, aucune entreprise n’aura un autocollant sur ma voiture. Tous ceux qui ont donné l’ont fait avec le cœur. Et je peux vous dire que la fibre généreuse des gens existe bel et bien ».

jeudi 8 novembre 2012

Jordi Viladoms annonce qu'il ne continuera pas avec le team Bordone Ferrari





A deux mois du départ pour l'Amérique du Sud, le Vice-Champion du Monde FIM des Rallyes Tout Terrain relève le défi de trouver une solution alternative pour participer au Dakar 2013.
A cause de l'incertitude que les dirigeants de l'équipe Bordone-Ferrari laissent planer depuis plusieurs mois quant à la suite de leurs projets, Jordi Viladoms s'est vu contraint de chercher une alternative afin de se donner une chance de prendre le départ du Dakar 2013.
« C'est vraiment dommage et c'est une décision difficile à prendre car au sein de cette équipe j'ai vécu la meilleure saison de ma carrière, explique Jordi Viladoms. Je remercie le team Bordone-Ferrari pour le travail réalisé cette année. Grâce à eux, j'ai gravi un échelon en tant que pilote. »
Jordi Viladoms a terminé quatrième du Dakar 2012, remporté le Rallye de Sardaigne et s'est classé deuxième au championnat du Monde FIM des Rallyes Tout Terrain. Malgré les excellents résultats, les difficultés de l'équipe Bordone-Ferrari sont survenues à un moment crucial de la saison, en plein préparatifs pour le Dakar 2013.
« J'ai pris part à un grand projet, continue Jordi Viladoms, mais en ce moment, je dois favoriser la stabilité et les engagements nécessaires afin de poursuivre ma carrière. J'espère sincèrement que l'équipe Bordone-Ferrari trouvera une solution qui lui permettra de continuer. »
Le calendrier étant très avancé, la majorité des équipes sont déjà définies et l'une des solutions pour le pilote catalan est de trouver une bonne moto et l'appui de sponsors. « Je travaille afin de trouver des solutions et assurer ma participation au Dakar 2013 avec un projet le plus compétitif possible, confirme Jordi. Je suis conscient que le temps ne joue pas en ma faveur et que la situation actuelle en Europe est très complexe pour trouver des sponsors mais je suis optimiste et j'espère trouver le bon dénouement à ce nouveau challenge. Je vais me battre pour tout mettre en œuvre afin d'être au départ du prochain Dakar dans les meilleures conditions possibles. »




SALUT CHRISTIAN, TU ÉTAIS L'ÂME DU SPORT POUR LES MOTARDS

Mardi 6 novembre, Christian Mercier, coordinateur à la Commission Enduro et Rallyes Tout Terrain à la FIM s'en est allé rejoindre nos amis chez les anges, victime d'un accident de voiture. C'était le meilleur interlocuteur que les pilotes de rallyes pouvaient rêver, toujours à l'écoute et terriblement efficace. C'était un ami. Il va tellement nous manquer. Salut Kiki, comment vas-t-on faire sans toi? Embrasse les potes là-haut... On t'aime.

Christian Mercier, coordinator of the Commission Enduro and X Country Rallies at the FIM has gone to join our friends to the angels, victim of a car accident. He was the best interlocutor that the rally riders could dream to have, always listening and awfully efficient. He was a friend. We will missed him so much. Hi Kiki, how are do we do without you? Hugs the guys up there ... We love you.

mercredi 7 novembre 2012

DAKAR 2013 : Knuiman, troisième du nom


Il s’agit donc bien d’une dynastie. Le nom de Knuiman se distingue depuis longtemps dans les classements du Dakar, puisqu’un certain Henk faisait partie des finisseurs de l’édition 1982. Depuis, Henk Knuiman Jr est apparu sur le rallye, avec un coup de guidon tout aussi efficace qui lui a valu d’être enrôlé comme porteur d’eau de Marc Coma en 2011, et de se hisser à plusieurs reprises dans le Top 10. Cette année, c’est avec Sten que les motards du rallye vont faire connaissance. Les antécédents familiaux plutôt flatteurs du jeune frère l’incitent à la jouer plutôt humble au moment de se projeter sur son  premier Dakar : « C’est mon tour d’essayer, et je m’y prépare depuis toujours. Je veux juste terminer : si Henk y arrive, je peux y arriver. Mais je ne suis pas aussi bon que lui techniquement, et je n’ai pas  son expérience des dunes, alors je ne vise aucun classement. » Conscient de ses limites, Sten est également prévenu qu’il n’a rien à attendre d’une éventuelle stratégie de fratrie. « Henk m’a dit qu’il m’aiderait jusqu’à la ligne de départ, mais qu’ensuite ce sera ‘chacun sa course’. »