Dakar
2014
Lundi
6 janvier 2014
Deuxième
étape : San Luis – San Rafael
Liaison
: 304 km – Spéciale : 433 km – Liaison : 62 km – Total : 798
km
La
deuxième spéciale du Dakar était très rapide avec une portion
dans les dunes de Nihuil, le terrain de jeu préféré de Willy
Alcaraz qui se classe 55e.
Arrivé
à San Rafael, les températures sont à nouveau élevées, plus de
40°C, la canicule est de retour sur l'Argentine.
Willy
Alcaraz n°350 – 55e : « C'était une spéciale très
rapide et moi, à 100-105 km/h, je n'avais pas beaucoup de chance de
faire un bon chrono. J'étais à fond et c'était un peu frustrant.
C'est dans le cassant et le sinueux que nous faisons la différence
avec le RZR. Mais je me suis rattrapé dans les dunes et là, j'en ai
passé quelques uns et je me vraiment amusé malgré le sable devenu
très, très mou à cause de la chaleur ! Ensuite, j'ai crevé et en
tout, j'ai dû perdre 15'... J'avais rattrapé Coronel dans les dunes
mais quand j'ai crevé, il m'a doublé et termine avec 10' d'avance
sur moi... Mais la route est encore longue ! »
Nicolas
Duclos/Sébastien Delaunay n°364 – 67e : « Ce fut une
journée difficile, commente Nicolas exténué à l'arrivée à San
Rafael. Nous avons crevé deux fois au km 44 puis km 45, il nous
restait 400 km à parcourir et sans roue de secours. Ce fut Rock &
Roll dans le feshfesh, les cailloux et la piste super roulante... Je
ne pouvais prendre aucun risque, on s'est donc fait doubler par de
nombreux véhicules et on a mangé et remangé du feshfesh ! Une
horreur ! Mais nous avons été sauvé par les dunes et, malgré que
le sable très mou, nous sommes passés sans problème et avons
remonté des autos. Cette spéciale était un véritable cimetière à
motos, autos et camions... Il y en avait partout ! Mais nous sommes
là et nous sortons de la spéciale en 68e position !»
Garry
Connell/Annie Seel n°366 – 83e : « Nous avons eu beaucoup de
chance car la piste était très cassante, avec beaucoup de pierres,
et nous avons crevé trois fois... mais réussi à réparer un pneu
avec une mèche. Il y avait du feshfesh qui entrait de partout, dans
le RZR tout est blanc ! Dans les dunes de Nihuil, le sable était
très, très mou mais nous avons bien géré ce passage sans nous
ensabler ! Merzouga Rally nous a bien servi à comprendre comment
passer dans les dunes. Malheureusement, à la fin, un pneu a déchapé
car nous étions très bas en pression, et nous avons perdu du temps.
C'était malgré tout une belle journée mais lente. »
Yasir
Saedan/Laurent Lichtleuchter n°386 – 91e : «
Horrible journée, s'exclame Yasir au bivouac Xtremeplus. Nous avons
connu en une étape toutes les mauvaises situations : feshfesh, 7
crevaisons, sable mou et même quelqu'un qui nous a touché à
l'arrière dans le feshfesh car nous étions à la queueleuleu,
personne ne se rangeait pour nous laisser passer... Heureusement que
Marco (Piana) était derrière nous avec des pneus dans son camion,
nous n'aurions jamais pu terminer la spéciale ! »
Désolée
pour l'arrivée tardive de ce communiqué, les équipages arrivant
tard au bivouac, les connections internet sont interrompues.
Suivez
le team XTREMEPLUS POLARIS sur Facebook
https://www.facebook.com/infoxtremeplus?ref=ts&fref=ts
Ou
sur le site internet : www.xtremeplus.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire